- Adoramus te Christe et benedicimus tibi (Nous t’adorons, ô Christ, et nous te bénissons ).
- Quia per Crucem tuam redemisti mundum (Parce que tu as racheté le monde par ta sainte Croix).
Alors que le Seigneur venait d’être réconforté par la rencontre avec sa Mère, qui l’aimait de tout son cœur, il fait maintenant l’expérience de l’aide forcée de Simon. Les Écritures ne nous révèlent pas ce qu’a dû ressentir le Cyrénéen lorsqu’il s’est soudain trouvé si étroitement lié au destin du Seigneur. A-t-il simplement accompli son devoir et poursuivi son chemin ? Ou le Seigneur a-t-il touché son cœur, de sorte que quelque chose s’est passé en lui ? Était-il auparavant un simple spectateur des événements autour de Jésus de Nazareth ou son cœur était-il déjà ouvert au Seigneur ? Nous ne le savons pas !