- Adoramus te Christe et benedicimus tibi (Nous t’adorons, ô Christ, et nous te bénissons ).
- Quia per Crucem tuam redemisti mundum (Parce que tu as racheté le monde par ta sainte Croix).
Nous voyons à nouveau combien le chemin est difficile. Combien d’épreuves le Seigneur porte-t-il sur ses épaules : le fardeau physique, le fardeau spirituel, tout ce qui se passe autour de lui, la cruauté de tant de gens ? Mais ce qui pèse le plus lourd sur lui, c’est le fardeau du péché, qui entraîne la séparation d’avec Dieu, et que Jésus assume maintenant dans sa propre chair pour nous, en se privant de la gloire du Père.
« En fait, c’étaient nos souffrances qu’il portait, nos douleurs dont il était chargé. Et nous, nous pensions qu’il était frappé, meurtri par Dieu, humilié. Or, c’est à cause de nos révoltes qu’il a été transpercé, à cause de nos fautes qu’il a été broyé. Le châtiment qui nous donne la paix a pesé sur lui : par ses blessures, nous sommes guéris. » (Is 53,4-5)