LA VÉRITÉ HABITE À L’INTÉRIEUR DE L’HOMME



« Ne va pas à l’extérieur ; retourne en toi : à l’intérieur de l’homme habite la vérité » (Saint Augustin).

Combien de fois cherchons-nous à l’extérieur, dans le monde, dans les événements, dans les médias, dans les rencontres et dans les autres personnes, ce que nous ne pouvons trouver qu’à l’intérieur de nous-mêmes ! Nous oublions souvent que, si nous vivons dans un état de grâce, la Trinité elle-même a établi sa demeure dans notre âme et y a érigé son temple de vérité. Nous pouvons nous retirer à tout moment dans ce temple intérieur et dialoguer intimement avec Dieu en nous.

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VIA CRUCIS – IV Station : “Jésus rencontre sa mère.”



  1. Adoramus te Christe et benedicimus tibi (Nous t’adorons, ô Christ, et nous te bénissons ).
  2. Quia per Crucem tuam redemisti mundum (Parce que tu as racheté le monde par ta sainte Croix).

Une rencontre d’une grande profondeur… La Mère voit son Fils souffrant.

Elle avait dit « oui » à la volonté du Père et avait compris que son Fils était le Rédempteur du monde. Elle le voit maintenant parcourir ce chemin d’humiliation pour nous exalter, nous les hommes, comme l’avait prédit le vieillard Siméon :

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VIA CRUCIS – III. Station :  “Jésus tombe pour la première fois”



  1. Adoramus te Christe et benedicimus tibi (Nous t’adorons, ô Christ, et nous te bénissons ).
  2. Quia per Crucem tuam redemisti mundum (Parce que tu as racheté le monde par ta sainte Croix).

Le chemin du Seigneur est d’une dureté inimaginable ! Ce ne sont pas seulement les souffrances physiques qui l’ont tourmenté, mais surtout le poids du péché qu’il a porté sur la croix pour nous les hommes. Si un seul péché pèse immensément sur nous jusqu’à ce que nous le présentions au Seigneur et recevions son pardon, combien plus les innombrables fautes de toute l’humanité !

« C’est à cause de nos révoltes qu’il a été transpercé, à cause de nos fautes qu’il a été broyé. Le châtiment qui nous donne la paix a pesé sur lui : par ses blessures, nous sommes guéris. » (Is 53,5).

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DÉLIVRE-NOUS DU MAL

« Délivre-nous du Mal »  (Mt 6,13).

C’est le cri constant et suppliant que l’âme affligée adresse à Dieu le Père : être délivrée du mal qui est en elle, du mal qui l’entoure et de toutes les forces destructrices du mal. Nous ne devons jamais nous habituer à la méchanceté, à toutes les perversités et à toutes les absurdités que nous trouvons sur la terre et dans le monde humain. Dieu n’a jamais voulu tout cela ! Notre Père n’a jamais eu l’intention d’abandonner ses créatures au mal, mais il a prévu pour elles une vie différente. Cependant, comme il a doté ses créatures de la liberté qui correspond à leur dignité, elles ont pu en abuser et se retourner contre Dieu, pervertissant ainsi le sens de leur existence.

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NE NOUS LAISSE PAS ENTRER EN TENTATION

«Et ne nous laisse pas entrer en tentation»  (Mt 6,13).

Nous savons tous que notre Père ne permet pas que des tentations au-delà de nos forces s’abattent sur nous. Au contraire, il nous aide à les combattre et à grandir dans cette lutte : « Dieu est fidèle : il ne permettra pas que vous soyez éprouvés au-delà de vos forces. Mais avec l’épreuve il donnera le moyen d’en sortir et la force de la supporter.” (1 Co 10, 13).

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VIA CRUCIS – « II. Station : « Jésus porte sa croix »

  1. Adoramus te Christe et benedicimus tibi (Nous t’adorons, ô Christ, et nous te bénissons ).
  2. Quia per Crucem tuam redemisti mundum (Parce que tu as racheté le monde par ta sainte Croix).

À l’époque romaine, les criminels étaient punis par la crucifixion. C’était une mort déshonorante et honteuse. Le condamné mourait par asphyxie.

Jésus n’est pas seulement condamné à la crucifixion, il doit aussi porter sa propre croix. Ils veulent en faire un spectacle pour le peuple.

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VIA CRUCIS « I. Station : « Jésus est condamné à mort « 

  1. Adoramus te Christe et benedicimus tibi (Nous t’adorons, ô Christ, et nous te bénissons ).
  2. Quia per Crucem tuam redemisti mundum (Parce que tu as racheté le monde par ta sainte Croix).

Jésus, l’innocent, se tient devant Pilate. Un juge terrestre, le représentant de Rome, doit juger le Fils de Dieu.

Les chefs de son propre peuple sont ses accusateurs. Ceux qui devaient conduire le peuple élu et le préparer à la venue du Messie ne l’ont pas reconnu parce qu’ils ne connaissaient pas le Père (Jn 8,19). Jésus le lui avait dit clairement.

L’accusation la plus grave portée contre Jésus est celle d’avoir blasphémé contre Dieu. Lui qui nous a fait connaître le Père, Lui qui repose en son sein, Lui qui a accompli sa volonté en toutes choses et qui a été accrédité par d’innombrables signes et miracles, est accusé de cette terrible transgression. Ils ne l’ont pas reconnu parce qu’ils n’ont pas connu le Père.

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