« Personne n’est bon, sinon Dieu seul » (Mc 10, 18).
Telle fut la première réponse de Jésus à l’homme qui lui demandait ce qu’il devait faire pour obtenir la vie éternelle.
« Personne n’est bon, sinon Dieu seul » (Mc 10, 18).
Telle fut la première réponse de Jésus à l’homme qui lui demandait ce qu’il devait faire pour obtenir la vie éternelle.
« Ma vie commence à nouveau chaque jour et se termine chaque nuit » (Sainte Edith Stein).
Comprenons-nous bien ce que la sainte carmélite Edith Stein nous transmet dans cette phrase ?
1Jn 3,11-24
Tel est le message que vous avez entendu depuis le commencement : aimons-nous les uns les autres. Ne soyons pas comme Caïn : il appartenait au Mauvais et il égorgea son frère. Et pourquoi l’a-t-il égorgé ? Parce que ses œuvres étaient mauvaises : au contraire, celles de son frère étaient justes. Ne soyez pas étonnés, frères, si le monde a de la haine contre vous. Nous, nous savons que nous sommes passés de la mort à la vie, parce que nous aimons nos frères. Celui qui n’aime pas demeure dans la mort. Quiconque a de la haine contre son frère est un meurtrier, et vous savez que pas un meurtrier n’a la vie éternelle demeurant en lui. Voici comment nous avons reconnu l’amour : lui, Jésus, a donné sa vie pour nous. Nous aussi, nous devons donner notre vie pour nos frères. Celui qui a de quoi vivre en ce monde, s’il voit son frère dans le besoin sans faire preuve de compassion, comment l’amour de Dieu pourrait-il demeurer en lui ? Petits enfants, n’aimons pas en paroles ni par des discours, mais par des actes et en vérité. Voilà comment nous reconnaîtrons que nous appartenons à la vérité, et devant Dieu nous apaiserons notre cœur ; car si notre cœur nous accuse, Dieu est plus grand que notre cœur, et il connaît toutes choses.
1 Jn 2,28-3,10
Et maintenant, petits enfants, demeurez en lui ; ainsi, quand il se manifestera, nous aurons de l’assurance, et non pas la honte d’être loin de lui à son avènement. Puisque vous savez que lui, Jésus, est juste, reconnaissez que celui qui pratique la justice est, lui aussi, né de Dieu.
Voyez quel grand amour nous a donné le Père pour que nous soyons appelés enfants de Dieu – et nous le sommes. Voici pourquoi le monde ne nous connaît pas : c’est qu’il n’a pas connu Dieu. Bien-aimés, dès maintenant, nous sommes enfants de Dieu, mais ce que nous serons n’a pas encore été manifesté. Nous le savons : quand cela sera manifesté, nous lui serons semblables car nous le verrons tel qu’il est. Et quiconque met en lui une telle espérance se rend pur comme lui-même est pur.
« Une fois purifié, le juste devient une monnaie du Seigneur et porte l’image de son Roi » (saint Clément d’Alexandrie).
« Mon Seigneur et mon Dieu, prends-moi tout ce qui m’éloigne de toi. Mon Seigneur et mon Dieu, donne-moi tout ce qui me rapproche de toi. Mon Seigneur et mon Dieu, détache-moi de moi-même pour me donner tout à toi. » (Saint Nicolas de Flüe).
1 Jn 2, 18-27
Mes enfants, c’est la dernière heure et, comme vous l’avez appris, un anti-Christ, un adversaire du Christ, doit venir ; or, il y a dès maintenant beaucoup d’anti-Christs ; nous savons ainsi que c’est la dernière heure. Ils sont sortis de chez nous mais ils n’étaient pas des nôtres ; s’ils avaient été des nôtres, ils seraient demeurés avec nous. Mais pas un d’entre eux n’est des nôtres, et cela devait être manifesté. Quant à vous, c’est de celui qui est saint que vous tenez l’onction, et vous avez tous la connaissance. Je ne vous ai pas écrit que vous ignorez la vérité, mais que vous la connaissez, et que de la vérité ne vient aucun mensonge. Le menteur n’est-il pas celui qui refuse que Jésus soit le Christ ? Celui-là est l’anti-Christ : il refuse à la fois le Père et le Fils ; quiconque refuse le Fils n’a pas non plus le Père ; celui qui reconnaît le Fils a aussi le Père. Quant à vous, que demeure en vous ce que vous avez entendu depuis le commencement.