VIA CRUCIS – IV Station : “Jésus rencontre sa mère.”



  1. Adoramus te Christe et benedicimus tibi (Nous t’adorons, ô Christ, et nous te bénissons ).
  2. Quia per Crucem tuam redemisti mundum (Parce que tu as racheté le monde par ta sainte Croix).

Une rencontre d’une grande profondeur… La Mère voit son Fils souffrant.

Elle avait dit « oui » à la volonté du Père et avait compris que son Fils était le Rédempteur du monde. Elle le voit maintenant parcourir ce chemin d’humiliation pour nous exalter, nous les hommes, comme l’avait prédit le vieillard Siméon :

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VIA CRUCIS – III. Station :  “Jésus tombe pour la première fois”



  1. Adoramus te Christe et benedicimus tibi (Nous t’adorons, ô Christ, et nous te bénissons ).
  2. Quia per Crucem tuam redemisti mundum (Parce que tu as racheté le monde par ta sainte Croix).

Le chemin du Seigneur est d’une dureté inimaginable ! Ce ne sont pas seulement les souffrances physiques qui l’ont tourmenté, mais surtout le poids du péché qu’il a porté sur la croix pour nous les hommes. Si un seul péché pèse immensément sur nous jusqu’à ce que nous le présentions au Seigneur et recevions son pardon, combien plus les innombrables fautes de toute l’humanité !

« C’est à cause de nos révoltes qu’il a été transpercé, à cause de nos fautes qu’il a été broyé. Le châtiment qui nous donne la paix a pesé sur lui : par ses blessures, nous sommes guéris. » (Is 53,5).

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VIA CRUCIS – « II. Station : « Jésus porte sa croix »

  1. Adoramus te Christe et benedicimus tibi (Nous t’adorons, ô Christ, et nous te bénissons ).
  2. Quia per Crucem tuam redemisti mundum (Parce que tu as racheté le monde par ta sainte Croix).

À l’époque romaine, les criminels étaient punis par la crucifixion. C’était une mort déshonorante et honteuse. Le condamné mourait par asphyxie.

Jésus n’est pas seulement condamné à la crucifixion, il doit aussi porter sa propre croix. Ils veulent en faire un spectacle pour le peuple.

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VIA CRUCIS « I. Station : « Jésus est condamné à mort « 

  1. Adoramus te Christe et benedicimus tibi (Nous t’adorons, ô Christ, et nous te bénissons ).
  2. Quia per Crucem tuam redemisti mundum (Parce que tu as racheté le monde par ta sainte Croix).

Jésus, l’innocent, se tient devant Pilate. Un juge terrestre, le représentant de Rome, doit juger le Fils de Dieu.

Les chefs de son propre peuple sont ses accusateurs. Ceux qui devaient conduire le peuple élu et le préparer à la venue du Messie ne l’ont pas reconnu parce qu’ils ne connaissaient pas le Père (Jn 8,19). Jésus le lui avait dit clairement.

L’accusation la plus grave portée contre Jésus est celle d’avoir blasphémé contre Dieu. Lui qui nous a fait connaître le Père, Lui qui repose en son sein, Lui qui a accompli sa volonté en toutes choses et qui a été accrédité par d’innombrables signes et miracles, est accusé de cette terrible transgression. Ils ne l’ont pas reconnu parce qu’ils n’ont pas connu le Père.

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L’ÉVANGILE DE SAINT JEAN (Jn 19, 31-42): « L’ensevelissement et la descente aux enfers »

Comme c’était le jour de la Préparation (c’est-à-dire le vendredi), il ne fallait pas laisser les corps en croix durant le sabbat, d’autant plus que ce sabbat était le grand jour de la Pâque. Aussi les Juifs demandèrent à Pilate qu’on enlève les corps après leur avoir brisé les jambes. Les soldats allèrent donc briser les jambes du premier, puis de l’autre homme crucifié avec Jésus. Quand ils arrivèrent à Jésus, voyant qu’il était déjà mort, ils ne lui brisèrent pas les jambes mais un des soldats avec sa lance lui perça le côté ; et aussitôt, il en sortit du sang et de l’eau. Celui qui a vu rend témoignage, et son témoignage est véridique ; et celui-là sait qu’il dit vrai afin que vous aussi, vous croyiez.

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MÉDITATIONS POUR LE CARÊME (Jn 19,16-30):  » Tout est accompli  »  

Alors, il leur livra Jésus pour qu’il soit crucifié. Ils se saisirent de Jésus. Et lui-même, portant sa croix, sortit en direction du lieu dit Le Crâne (ou Calvaire), qui se dit en hébreu Golgotha. C’est là qu’ils le crucifièrent, et deux autres avec lui, un de chaque côté, et Jésus au milieu.Pilate avait rédigé un écriteau qu’il fit placer sur la croix ; il était écrit : « Jésus le Nazaréen, roi des Juifs. » Beaucoup de Juifs lurent cet écriteau, parce que l’endroit où l’on avait crucifié Jésus était proche de la ville, et que c’était écrit en hébreu, en latin et en grec. Alors les grands prêtres des Juifs dirent à Pilate : « N’écris pas : “Roi des Juifs” ; mais : “Cet homme a dit : Je suis le roi des Juifs”. » Pilate répondit : « Ce que j’ai écrit, je l’ai écrit. » Quand les soldats eurent crucifié Jésus, ils prirent ses habits ; ils en firent quatre parts, une pour chaque soldat. Ils prirent aussi la tunique ; c’était une tunique sans couture, tissée tout d’une pièce de haut en bas. Alors ils se dirent entre eux : « Ne la déchirons pas, désignons par le sort celui qui l’aura. » Ainsi s’accomplissait la parole de l’Écriture : Ils se sont partagé mes habits ; ils ont tiré au sort mon vêtement.

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MÉDITATIONS POUR LE CARÊME:  » Conclusion des méditations de Carême « 

Avec la méditation d’aujourd’hui, je conclus cette série que j’ai commencée après les réflexions systématiques sur l’Évangile de saint Jean, en préparation à la grande solennité de Pâques.

Une brève récapitulation s’impose pour souligner l’essentiel. Après cette méditation, nous reviendrons aux récits de la mort et de l’ensevelissement du Seigneur dans l’Évangile de Jean.

Le concept de « discrétion », que nous avons appris des Pères du désert et qui signifie « discernement des esprits » dans l’usage ecclésiastique, nous a amenés à regarder attentivement la situation de l’Église et du monde et à l’appliquer également à notre vie spirituelle. En analysant l’armure spirituelle proposée dans la Lettre aux Éphésiens, nous sommes arrivés à la conclusion que nous devons nous préparer à un combat spirituel qui dépasse la sphère personnelle, surtout si l’on considère les menaces antichrétiennes qui pèsent sur le monde et sur l’Église.

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