Ô Roi de l’univers,
ô Désiré des nations,
pierre angulaire qui joint ensemble l’un et l’autre mur :
Force de l’homme pétri de limon,
viens, Seigneur, viens nous sauver. Read More
Ô Roi de l’univers,
ô Désiré des nations,
pierre angulaire qui joint ensemble l’un et l’autre mur :
Force de l’homme pétri de limon,
viens, Seigneur, viens nous sauver. Read More
Ô Orient, splendeur de la lumière éternelle
et soleil de justice :
Viens, Seigneur, illuminer ceux qui habitent les ténèbres
et l’ombre de la mort. Read More
Ô Clé de David, ô Sceptre d’Israël,
tu ouvres et nul ne fermera, tu fermes et nul n’ouvrira :
Viens, Seigneur, et arrache les captifs
établis dans les ténèbres et la nuit de la mort.
Ô Rameau de Jessé,
étendard dressé à la face des nations,
les rois sont muets devant toi tandis que les peuples t’appellent :
Viens, Seigneur, délivre-nous, ne tarde plus.
Ô Adonai, chef de ton peuple Israël,
tu te révèles à Moïse dans le buisson ardent
et tu lui donnes la Loi sur la montagne :
Viens, Seigneur, nous délivrer par la vigueur de ton bras.
Ô Sagesse, de la bouche du Très-Haut,
toi qui régis l’univers avec force et douceur,
enseigne-nous le chemin de vérité :
Viens, Seigneur, nous enseigner le chemin de la prudence.
Eclo 48,1-15
Le prophète Élie surgit comme un feu, sa parole brûlait comme une torche. Il fit venir la famine sur Israël, et, dans son ardeur, les réduisit à un petit nombre. Par la parole du Seigneur, il retint les eaux du ciel, et à trois reprises il en fit descendre le feu. Comme tu étais redoutable, Élie, dans tes prodiges ! Qui pourrait se glorifier d’être ton égal ? Toi qui as réveillé un mort et, par la parole du Très-Haut, l’as fait revenir du séjour des morts ; toi qui as précipité des rois vers leur perte, et jeté à bas de leur lit de glorieux personnages ; toi qui as entendu au Sinaï des reproches, au mont Horeb des décrets de châtiment ; toi qui as donné l’onction à des rois pour exercer la vengeance, et à des prophètes pour prendre ta succession ; toi qui fus enlevé dans un tourbillon de feu par un char aux coursiers de feu ;toi qui fus préparé pour la fin des temps, ainsi qu’il est écrit, afin d’apaiser la colère avant qu’elle n’éclate, afin de ramener le cœur des pères vers les fils et de rétablir les tribus de Jacob… heureux ceux qui te verront, heureux ceux qui, dans l’amour, se seront endormis ; nous aussi, nous posséderons la vraie vie.