Septième méditation de Noël: « Ta lumière chassera les ténèbres »

Enfant bien-aimé, nous sommes presque arrivés à la fin de ces méditations de Noël, et aussi l’année est sur le point de se terminer.

 

Seigneur bien-aimé, cette année a été difficile pour beaucoup des persones. Vers qui peuvent-ils se tourner si ce n’est vers Toi, qui même en temps de confusion est présent, et peut-être d’une manière spéciale lorsque Tu vois le besoin et la détresse des gens ?

Que veux-tu nous donner à comprendre à travers les événements des ces temps ? Bien-aimé Bébé Jésus, il y a tellement de choses à dire à ce sujet, mais un message est certain : même si tout commence à vaciller, Tu es et resteras le même. Le message de Noël n’a pas non plus changé : Réjouissez-vous, le Christ est né (cf. Lc 2, 10-11) !

C’est précisément en ces temps difficiles que les gens doivent l’apprendre ! Les choses de ce monde ne peuvent nous donner la sécurité, car elles s’effacent. La vie terrestre est éphémère et nous ne devons pas nous y accrocher ou vouloir la préserver à tout prix.

Si nous acceptons Ton offre de grâce, ô Divin Enfant, une autre vie nous attend : une vie sans souffrance et sans mort ; une vie sans maladie et sans peur ; une vie sans péché (cf. Ap 21,4)…..

Il est illusoire de prétendre trouver le vrai bonheur sans te connaître, car tout ce qui est terrestre est marqué par l’expiration. Notre Père céleste nous permet d’en faire l’expérience, afin que nous puissions le rechercher…

A Toi, Seigneur, nous te remercions pour cette année, car tu nous as soutenus. Peut-être avons-nous perdu des êtres chers : donne-leur le repos éternel ! Accepte gracieusement la douleur de ceux qui ont souffert des tribulations dans ces temps.

Nous voyons les nuages sombres s’amonceler de plus en plus sur le monde ; mais Ta lumière les chassera. Tenons bon ! Ne perdons jamais l’espoir et ne perdons jamais notre foi ! C’est précisément maintenant qu’elle doit prouver sa valeur !

Entrons dans la nouvelle année les yeux fixés sur toi, qui es le commencement et la fin (Ap 22,13).

Demain, étant déjà entrés dans l’année prochaine et ayant conclu l’Octave de Noël en contemplant Ta Mère, nous attendrons Ta seconde venue. En effet, Noël n’est pas seulement la fête de ta naissance, mais aussi l’attente de ton retour glorieux.

Toutes les « douleurs de la naissance » qui précèdent la Parousie doivent nous inciter à la vigilance et nous rappeler ces paroles des Vôtres : « Quand ces événements commenceront, redressez-vous et relevez la tête, car votre rédemption approche » (Lc 21,28).

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